Castelnau-Pégayrols et son patrimoine

L'église Saint-Michel
L'église Saint-Michel

L'église Saint-Michel

Église romane du XIème siècle

Dans les années 1070-1082, Jean Langobard reconstruit, pour l’abbaye de Marseille, afin d’y installer un monastère bénédictin, l’église fondée par Bernard de Lévézou sur un lieu de culte ancien

  L’ÉGLISE NOTRE-DAME
 

Église romane XIème-XIIème siècle

Construite pour la paroisse vers 1082 après l’installation des bénédictins à Saint-Michel.

Le style épuré de l’ensemble offre un exemple de sobriété et de simplicité que peut offrir l’architecture romane.

Les peintures qui ornent le choeur datent du 17e siècle. 

Les anges musiciens nous interpellent et nous incitent à faire vivre ce lieu en accueillant des manifestations culturelles tel que concerts, spectacles ou expositions. 

 

L'église Notre-Dame
L'église Notre-Dame

Le Prieuré

Rare exemple conservé de bâtiments conventuels de Saint-Victor, en Rouergue. 

Monastère fondé par Bernard de Millau après la donation par Aicfred de Lévézou en 1070.

Le prieuré
Le prieuré

Le Château

Le château féodal, réaménagé en résidence d’été par le marquis de Pégayrolles (1760 – 1780), a conservé ses puissantes murailles et ses salles voûtées d’époque médiévale.

Le système hydraulique medieval

On mesure, à la diversité de ses éléments, les différents services que ce système d’adduction d’eau de Castelnau était destiné à remplir. Il assurait, en effet, quatre types de fonctions :

  • Fonction Militaire : l’approvisionnement en eau de la citerne du château fort pour permettre de soutenir sa défense.
  • Fonction Civile : l’alimentation du village en eau. 
  • Fonction Agricole : l’irrigation des terres proches du village.
  • Fonction Industrielle : car c’est bien ainsi que l’on peut appeler l’exploitation de quatre moulins à grain et à huile, mus par l’énergie hydraulique. Ces moulins servaient à trois sortes de fabrications : la farine alimentaire, l’huile et des farines pour le bétail.

L’enquête sur les commodités du Rouergue nous apprend, qu’en 1552, on produisait à Castelnau du Lévézou  »quelque nourriture de bétail ». Cette nourriture consistait, d’ordinaire, en une farine grossière que l’on appelait  »la mouture » et qui semble bien avoir été une production locale due à l’activité des quatre moulins.